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Epargner à son rythme avec l’assurance-vie
Avec l’assurance-vie, vous pouvez choisir de programmer - ou non - vos versements. C’est une souplesse qui vous permet de doser le rythme de votre épargne en fonction de vos capacités du moment.
Préparer sa retraite
... notamment grâce à la possibilité de transformer le capital de son assurance-vie en rente viagère en contrepartie de l’aliénation du capital. Avantage pour l’assuré : recevoir des revenus réguliers jusqu’à son décès.
Les retraits programmés ou rachats partiels programmés sont une autre solution pour obtenir un complément de revenu. Ils consistent à retirer - selon un rythme choisi - une partie seulement du capital, le reste continuant à se valoriser.
Ces retraits peuvent être faiblement imposés ou même non imposés (hors prélèvements sociaux).
Un investissement diversifié
L’assurance-vie offre la possibilité de placer son argent en fonction de son profil de risque : prudent, équilibré ou dynamique.
Il est possible de choisir entre des supports en euros qui offrent une garantie en capital en assurant un rendement minimum et des unités de compte (UC) qui permettent d’accéder à différentes catégories d’actifs plus ou moins risquées : OPC (FCP, OPCVM, OPCI..), SCPI.
C’est un moyen de dynamiser son épargne. Mais si les unités de compte peuvent offrir des rémunérations plus attractives que les fonds en euros, elles sont aussi plus risquées.
En pratique, la majorité des contrats d’assurance-vie sont multisupports, c’est-à-dire qu’ils permettent d’investir à la fois sur des fonds en euros et des UC afin de sécuriser une partie de l’épargne tout en dynamisant l’autre.
Une épargne disponible
Contrairement aux idées reçues le capital de l’assurance-vie est disponible à tous moments : vous pouvez effectuer un rachat partiel sans pour autant mettre fin au contrat.
Une transmission de son patrimoine facilitée
La clause bénéficiaire du contrat d’assurance-vie permet au souscripteur de désigner son ou ses bénéficiaires. Cela peut être son conjoint, ses enfants ou toute autre personne de son choix.
Si le bénéficiaire est un conjoint ou un partenaire de PACS les sommes versées sont totalement exonérées de droits de succession.
Dans les autres cas, selon l’âge du défunt au moment des versements, les sommes versées bénéficient d’abattements fiscaux.
Il faut savoir que le montant du contrat d’assurance-vie ne fait pas partie de la succession de l’assuré sauf si aucun bénéficiaire vivant n'est désigné au contrat. Dans ce cas, le capital décès du contrat entre dans l'actif successoral et ne bénéficie plus de son régime particulier.
A ce sujet, lire également : transmettre son patrimoine grâce à l'assurance-vie
Une fiscalité avantageuse
La fiscalité dépend du type de sortie effectuée : rachat - total ou partiel -, sortie en rente ou capital décès.
En cas de rachat partiel ou total, seuls les intérêts ou les plus-values sont soumis au barème progressif de l'impôt sur le revenu ou, sur option, à un prélèvement forfaitaire libératoire dont le taux est fonction de la durée de détention : moins de 4 ans, entre 4 et 8 ans et plus de 8 ans et dans la limite des plafonds légaux.
Par exemple, au bout de huit années de détention, les sorties en capital sont taxables mais après un abattement de 4 600 euros pour un célibataire, veuf ou divorcé et 9 200 euros pour un couple marié ou pacsé.
Il faut aussi savoir qu’en cas de licenciement, de liquidation judiciaire ou de mise en retraite anticipée du souscripteur ou de son conjoint : le rachat est exonéré d’impôt.
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